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Recherches sous-marines

Les ouvrages du Mur de l'Atlantique, situés sur le Domaine Public Maritime (DPM), sont considérés par le Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines (DRASSM) comme des biens culturels maritimes. A ce titre, ces Entités Archéologiques (EA) sont progressivement enregistrées dans la base de données nationale du ministère de la Culture.

Le GRAMASA s'est associé au DRASSM pour mener des opérations archéologiques sous-marines (OA) sur des positions du Secteur Arcachon. Ce travail de recherches, novateur, sur ces complexes de bunkers construits durant la seconde guerre mondiale, permet d'améliorer nos connaissances sur ce type de fortifications et sur une période importante de notre histoire.

Ci-contre : Chantier archéologique au nord des Gaillouneys - (Photo de Christophe Naslain, 2013)



Mars 2013 - Présentation des travaux du GRAMASA à la journée du DRASSM PDF Imprimer Envoyer
Samedi, 23 Mars 2013 08:31

Marc Mentel, président du GRAMASA et responsable scientifique des opérations archéologiques sous-marines aux Gaillouneys, a présenté à Marseille dans le cadre de la journée du DRASSMle travail de recherches de l'association.

Titre de la communication scientifique : "Le Mur de l'Atlantique secteur Arcachon : Méthodologie et état des recherches sur la Batterie des Gaillouneys."


 
Décembre 2012 - Rapport BRGM PDF Imprimer Envoyer
Lundi, 17 Décembre 2012 19:08

En cous de réalisation...

 
Juillet 2012 - L'Opération Archéologique sous-marine des Gaillouneys - 1/2 PDF Imprimer Envoyer
Lundi, 06 Août 2012 07:26

Durant cette nouvelle opération archéologique sur la batterie Ar.47 des Gaillouneys, l'équipe du GRAMASA s'est concentrée sur l'étude des supports en béton que l'on peut apercevoir à proximité des casemates de type 669. Ces plateformes pour canon (PC), destinées à recevoir les pièces d'artillerie russes de 152 mm, permettaient d'effectuer des tirs tous azimuts. Elles sont aujourd'hui disloquées et constituées d'éléments souvent très ensablés à une profondeur moyenne d'environ 15 m.

Plans de Marc Mentel

 
Juillet 2012 - L'OA de la batterie de côte des Gaillouneys - 2/2 PDF Imprimer Envoyer
Dimanche, 05 Août 2012 20:53

Huit membres bénévoles de l'association, dont six plongeurs expérimentés titulaires d'un CAH Classe II B, ont participé du mercredi 11 au dimanche 15 juillet à la deuxième opération archéologique sous-marine de la batterie des Gaillouneys.

Dans le cadre de ces recherches, le GRAMASA applique les procédures de plongée et de sécurité du DRASSM. Il y a donc toujours sur le site un support d'activité (Véhicule 4x4 spécialement préparé ou un navire) et une embarcation de surveillance, équipés du matériel de signalisation, de sécurité, de secours et de communication. La zone d'intervention des plongeurs est systématiquement signalée en surface par un support (bouée, planche, bateau au mouillage) équipé d'un pavillon alpha.

Après obtention de l'avis favorable de la préfecture maritime de l'atlantique, après validation du document de chantier et du plan de prévention des risques par le contrôleur de sécurité du DRASSM, chaque opération fait l'objet d'un arrêté d'autorisation du ministère de la culture et de la communication, désignant le responsable scientifique de la mission et précisant les objectifs ainsi que les prescription particulières.

Chaque sortie nécessite la présence d'un minimum de quatre plongeurs classés :

- Un chef d'opération hyperbare qui contrôle l'activité en surface assisté d'un plongeur de sécurité prêt à intervenir.

- Deux opérateurs qui effectuent le travail de recherches sous-marines.

Photos sous-marines de Christophe Naslain et de Patrick Ragot

 
Juillet 2011 - L'opération archéologique sous-marine des Gaillouneys PDF Imprimer Envoyer
Dimanche, 08 Janvier 2012 12:34

Aujourd'hui, les six bunkers de type 669 des Gaillouneys (Ar.47) sont immergés à une profondeur comprise entre 14 et 20 mètres. Posés sur un fond sableux, ils sont régulièrement balayés et dégagés par de forts courants de marées.
L'opération archéologique (O.A. 1281) des Gaillouneys a pour but d'étudier en détail ces ouvrages, afin de mettre en évidence et de comprendre les singularités structurelles pouvant exister par rapport au plans standards.
Une étude comparative est menée en parallèle sur le site témoin de l'Eden (Ar.42), qui conserve les trois derniers exemplaires terrestres de 669 encore visibles dans le secteur Arcachon.

 

 

 

 
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